Nous vivons dans un monde unique en son genre car il n’y en a pas d’autre à ce jour, dans l’immensité de l’univers nous sommes jusqu’à ce jour les uniques vivants. En contemplant l’univers nous pouvons toucher à quel point notre Dieu est bon, merveilleux, une grandeur sans égale ; que ce soit dans le gigantisme de notre univers ou dans l’infiniment petit il est sans conteste que Dieu est présent. Devant ce déploiement d’énergie de forme au divers couleurs chatoyantes pour les plaisirs des pupilles du genre humain, un régal pour les yeux qui nous transporte dans les régions que nul ne pourra explorer, sinon par celui qui peut tout et fera tout pour nous, Dieu en personne. Notre cœur est un univers ignoré de tout le monde et de nous-même, mais pas de Dieu.
La destinée de l’homme est scellée dans le faste de beauté qui se livre à nous, c’est de voir un jour la gloire de Dieu : « L'Eternel dit à Moïse : Je ferai ce que tu me demandes, car tu as trouvé grâce à mes yeux, et je te connais par ton nom. 18 Moïse dit : Fais-moi voir ta gloire ! 19 L'Eternel répondit : Je ferai passer devant toi toute ma bonté, et je proclamerai devant toi le nom de l’Éternel ; je fais grâce à qui je fais grâce, et miséricorde à qui je fais miséricorde.… (Exode 33)
Pourtant nous constatons que dans le monde où nous vivons, que l’image du paradis a changé de face, nous vivons dans un monde aux valeurs corrompues ou Satan est le dieu ; l’orgueil des richesses aveugle le cœur des hommes, qui loin d’être un cosmos dans lequel se trouve la beauté et la paix, se trouve une fabrique d’idole d’où en sort des idoles de toutes sortes. Le cœur de l’homme est malade. Le cœur de l’homme est compliqué et malade nous dira l’Ecclésiaste. Dieu a semé des graines d’amour dans le monde et c’est la violence qui a poussée. Dans son amour il multiplie les Alliances avec les hommes inlassablement. Malgré tout, Dieu nous poursuit de son amour, il nous a donné son fils unique. Dieu continue de nous promulguer son amour dans toutes les difficultés que nous rencontrons, car il a dit lui-même : « Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » c’est dire à quel point Dieu veut nous voir joyeux et en paix dénués de toute tristesse et anxiété : « Invoque-moi au jour de la détresse, je te délivrerai et tu me glorifieras" (Ps 50 :15). Jésus est celui qui calme les tempêtes ».
Dieu est proche de nous et nous ne le remarquons même pas, Dieu nous poursuit de ses grâces inlassablement sans rien nous réclamer en retour et c’est à peine que nous lui disons merci, ses bénédictions passent sans que nous les remarquions.
Jésus continue à avoir soif sans que nous lui tendions le verre d’eau de la fraternité. Jésus a soif de donner son amour, mais aussi de recevoir en retour notre amour. Jésus a soif parce qu’il se sent abandonné par les hommes. Au (psaume 69, 22) : « quand j’avais soif, ils m’ont donné du vinaigre » c’est la réponse du monde à l’amour de Dieu.
'L’Amour n’est pas aimé', criait saint François d’Assise, lui qui devant la souffrance du Seigneur, n’avait pas honte de se lamenter et de pleurer à pleine voix. L’amour mérite l’amour, tachons de répondre à la soif de Dieu par notre amour envers nous-même, envers le prochain.
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